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Médecine et société
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Une inspectrice reconnue coupable d'avoir fait son travail en enquêtant sur des décès infantiles liés aux vaccins à ARNm


Une inspectrice reconnue coupable d'avoir fait son travail en enquêtant sur des décès infantiles liés aux vaccins à ARNm

par Ghislain Martel* 

Une inspectrice canadienne a été reconnue coupable d'avoir fait soin travaile en enquêtant sur des décès infantiles liés aux vaccins à ARNm.Une inspectrice canadienne a été reconnue coupable d'avoir fait soin travaile en enquêtant sur des décès infantiles liés aux vaccins à ARNm.



(tiré et traduit d'un article paru sur grusjusticeproject.org - voirlien en bas de page)

« Le jugement indique clairement que Grus n'a pas été sanctionnée pour faute professionnelle, mais pour avoir osé enquêter sur les raisons du doublement, voire du triplement, des décès infantiles pendant la pandémie. Le tribunal lui reproche de ne pas avoir demandé d'« autorisation » avant d'enquêter sur ces décès et souligne les « répercussions politiques et sociétales » de ses investigations ; autrement dit, c'est la politique, et non le droit, qui a déterminé cette issue. »

« Cette affaire n'a jamais porté sur une faute professionnelle. Il s'agissait de faire taire des questions que personne au pouvoir ne voulait entendre. » 


« Le jugement indique clairement que Grus n'a pas été sanctionnée pour faute professionnelle, mais pour avoir osé enquêter sur les raisons du doublement, voire du triplement, des décès infantiles pendant la pandémie.


Article complet :

« Au plus fort de la pandémie, l’inspectrice Helen Grus a posé une question interdite : les vaccins à ARNm contre la COVID-19 étaient-ils liés à une augmentation des décès infantiles ? Pour avoir osé poser cette question, elle a été soumise à la procédure disciplinaire interne la plus longue et la plus coûteuse de l’histoire de la police canadienne. Cette procédure a duré 29 mois, a impliqué 14 témoins, 13 requêtes et a coûté plus d’un million de dollars aux contribuables.

Selon l’Ottawa Citizen : Grus aurait consulté des dossiers d’enquêtes sur des décès de nouveau-nés et de nourrissons au Canada auxquels elle n’était pas affectée et aurait demandé au coroner si les parents de bébés décédés subitement pendant la pandémie étaient vaccinés contre la COVID-19.

Les enquêteurs allèguent également que Grus a contacté directement le père d’un bébé décédé le 30 janvier 2022 pour s’enquérir du statut vaccinal de la mère contre la COVID-19.

N’ayant pas pu assister à son audience disciplinaire, et les enregistrements étant interdits, je me base principalement sur les témoignages de personnes présentes, notamment : Donald Best (ancien sergent – ??Police de Toronto), Vincent Gircys (ancien enquêteur judiciaire – Police provinciale de l'Ontario), Rob Stocki (ancien sergent – Police d'Ottawa), Tamara Ugolini (Rebel News), Jason Unrau (journaliste indépendant).

« J'étais présent au procès. C'était une véritable mascarade. Le juge d'instruction, le surintendant Chris Renwick (à la retraite), a refusé d'admettre ses témoins experts, a écarté les propres preuves de la détective Grus, a muselé son témoignage et lui a imposé des contraintes juridiques manifestement injustes, comme l'obligation pour la défense de soumettre ses questions de contre-interrogatoire par écrit à l'avance, ainsi que d'autres exigences profondément préjudiciables qui ont anéanti les chances de la détective Grus de présenter une défense complète et crédible. Le verdict était prédéterminé avant même le début du procès. Ce procès était une parodie de justice, un véritable cirque, un spectacle grotesque. À un moment donné, après avoir été interpellé par la défense, le juge d'instruction a admis qu'il devait cesser de s'opposer au nom de l'accusation. C'est à peine croyable. »

— Rob Stocki, ancien sergent Police d'Ottawa

Pour Grus personnellement, cette épreuve a engendré des frais juridiques estimés à 400 000 $. Son syndicat, l'Association de la police d'Ottawa, a refusé de lui apporter un soutien financier pour sa défense, rompant ainsi avec la pratique antérieure d'offrir une aide juridique aux policiers, même accusés d'infractions criminelles violentes.



« Je ne veux plus que des bébés meurent. Que ce soit lié à la vaccination ou non, je veux essayer de comprendre pourquoi ces petits bébés sont morts… Je ne peux pas accepter que des bébés meurent sans qu’on leur explique rien.»

- Détective Helen


Vous pouvez faire un don à son fonds de défense ici :

https://www.givesendgo.com/helengrus

Un organisme sans but lucratif enregistré au niveau fédéral a récemment été créé en son nom afin de « rétablir l'état de droit et de garantir que les enquêtes policières au Canada demeurent indépendantes de toute influence politique ».

Grus intent une poursuite contre Radio-Canada



Grus riposte : Poursuite de 875 000 $ contre Radio-Canada

Le 28 mars 2022, alors que la suspension de Grus n'était pas encore publique, Radio-Canada Ottawa a publié un article s'appuyant sur des fuites anonymes au sein de la police d'Ottawa, déclenchant ainsi un procès médiatique.

La détective Grus riposte maintenant contre la machine médiatique qui a contribué à sa chute, en poursuivant Radio-Canada pour… 875 000 $ pour « Publication d’articles préjudiciables, malveillants et harcelants contenant de fausses déclarations » :

Plus précisément, la détective Grus allègue que les articles de Radio-Canada datés du 28 et du 31 mars 2022 étaient fondés sur des renseignements confidentiels provenant de sources anonymes au sein du Service de police d’Ottawa et ont directement entraîné les poursuites administratives engagées contre elle.

… Essentiellement, la détective Grus croit que Radio-Canada l’a diffamée intentionnellement, alors qu’elle cherchait à obtenir une audience juste et impartiale. La publication de ces articles a été planifiée de manière à nuire le plus possible à sa réputation et à l’issue de son procès.

Un journaliste de Radio-Canada est également personnellement cité comme défendeur dans la poursuite.

Ce journaliste soutient que Grus a victimisé les parents des nourrissons décédés et que, par conséquent, son propre reportage était justifié.

« Je suis convaincue que les sources étaient motivées à parler de cela parce que, selon elles, il s’agit d’une victimisation supplémentaire pour des personnes innocentes qui traversent la pire épreuve de leur vie. » « Cela touche au cœur même du rôle de la police. »

— Journaliste de CBC

Je soutiens le contraire : les parents seraient *reconnaissants* de savoir pourquoi leurs bébés sont morts.

« Je ne veux plus que des bébés meurent. Que ce soit lié à la vaccination ou non, je veux essayer de comprendre pourquoi ces petits bébés sont morts… Je ne peux pas accepter que des bébés meurent sans qu’on leur explique rien.»

— Détective Helen



Ce procès en diffamation contre Radio-Canada risque de s'éterniser.

Le tribunal d'Ottawa déclare Grus coupable.



En mars 2025, le tribunal de police d'Ottawa a rendu son verdict : la détective Helen Grus a été reconnue coupable de « conduite déshonorante », une accusation vague et fourre-tout utilisée lorsqu'aucun crime ni aucune violation de la loi ne peut être prouvé.

Une condamnation politique, non juridique :

La décision indique clairement que Grus n’a pas été sanctionnée pour faute professionnelle, mais pour avoir osé enquêter sur les raisons du doublement, voire du triplement, des décès infantiles pendant la pandémie. Le tribunal lui reproche de ne pas avoir demandé d’« autorisation » avant d’enquêter sur ces décès et souligne les « répercussions politiques et sociales » de ses investigations. Autrement dit, c’est la politique, et non le droit, qui a déterminé cette décision.

Ce qu’elle a réellement fait

La prétendue « faute professionnelle » se résumait à une chose : poser trop de questions. Grus a consulté les dossiers de neuf décès infantiles et, dans un cas précis, a « téléphone au père d’un bébé décédé » pour « se renseigner sur le statut vaccinal de la mère contre la COVID-19 ».

Ce simple appel a constitué le fondement de l’accusation. Le tribunal a émis l’hypothèse que cet appel aurait pu causer de la détresse. Mais le père ne s'est jamais plaint, aucune preuve de préjudice n'a été présentée et la question était directement pertinente pour l'enquête.

Grus n'a pas été accusée de falsification de données, de fuite d'informations, d'entrave à une enquête ou d'accès illégal à des fichiers — le service des normes professionnelles l'avait déjà innocentée sur ces points. Son « infraction » consistait simplement à enquêter sur des décès qui ne lui avaient pas été officiellement attribués, alors que cela faisait partie intégrante de ses fonctions.

Un tribunal truqué

L'officier d'audience (non pas un juge, mais un simple policier à la retraite sans formation juridique), le commissaire Chris Renwick, n'a fait aucune prétention à la neutralité. Dès le départ, il a annoncé que toute preuve « hors du champ d'application » de l'accusation de faute professionnelle serait écartée. Cela lui a permis d'empêcher les témoignages concernant la forte augmentation des décès infantiles, de rejeter les données de l'essai de Pfizer comme non pertinentes et d'empêcher les experts médicaux de comparaître :

- Le Dr Gregory Chan, médecin de famille, a soumis un témoignage écrit soulignant le manque de données sur l'innocuité et signalant la mortinaissance d'un patient deux mois après la vaccination. Il a été empêché de comparaître en personne.

— Le Dr Eric Payne, neurologue pédiatrique, a soumis une déclaration soulignant l’absence de données fiables sur l’innocuité du vaccin. Lui aussi a été empêché de comparaître.

Un précédent qui entraîne des conséquences juduciaires

La décision écrite finale de Renwick, empreinte de sarcasme, accusait Grus d’instrumentaliser sa position et réduisait ses préoccupations à une simple opposition au mandat vaccinal de la police d’Ottawa, laissant fortement entendre qu’elle se souciait peu du sort des bébés décédés. L'avocate d'Helen Grus, Bath-Sheba van den Berg, soutient que le verdict de culpabilité de Renwick :

Crée un précédent selon lequel la police ne peut enquêter sur des affaires impliquant des fonctionnaires

Laisse entendre que les agents doivent obtenir l'autorisation du pouvoir exécutif pour mener des enquêtes sensibles

Met à mal le principe selon lequel le pouvoir discrétionnaire de la police est essentiel à la justice et à la sécurité publique

Laisse entendre que les fonctionnaires sont au-dessus des lois et que les agents qui contestent cela sont punis

Bath-Sheba van den Berg explique :

« Lors du témoignage d'Helen, je lui demandais combien de bébés étaient décédés pendant les essais cliniques. Rappelons que les essais cliniques du vaccin Pfizer n'ont pas inclus de femmes enceintes ni allaitantes, mais certaines données ont été recueillies. Je lui demandais donc : combien de bébés sont morts ? L'officier d'audience – Helen était assise sur une chaise à roulettes, et à sa droite se tenait un autre officier – s'est précipité vers elle, la main levée, et lui a ordonné de se taire. Il lui a dit d'arrêter de témoigner, juste au moment où elle donnait la réponse, car tous les bébés, sauf un, étaient morts. » Et il ne voulait pas que cela soit consigné au dossier. Il a pourtant été établi qu'il a tenté de l'empêcher de subir son interrogatoire, mon interrogatoire, et de se défendre. L'officier d'audience a empêché la personne accusée ici, la détective Helen Grus, de témoigner sur le nombre de bébés décédés.

Cette affaire entraîne une réforme des procédures policières :

En vertu du Règlement de l'Ontario 395/23, pris en application de la Loi sur la sécurité communautaire et les services policiers de l'Ontario et proclamé le 1er avril 2024, les policiers sont désormais tenus d'obtenir l'approbation de leur supérieur avant d'entamer une enquête criminelle.

Cette nouvelle loi est sans précédent. Comment peut-on établir une cause probable si les policiers sont interdits même d'entamer une enquête sommaire ?

Depuis la fondation du Canada, les policiers ont eu l'autonomie de commencer à interroger ou à enquêter sur des crimes présumés sans demander d'autorisation préalable. La nouvelle « obligation d'aviser un supérieur » représente une rupture historique avec près de deux siècles d'indépendance policière. Les policiers sont maintenant, de fait, empêchés d'enquêter sur des fonctionnaires sans autorisation préalable. C'est de la corruption au grand jour. Elle donne aux décideurs politiques le pouvoir de bloquer les enquêtes susceptibles de gêner leurs alliés ou d'« offenser leurs partisans ».

Mais voici le problème majeur : cette règle n'est entrée en vigueur que le 1er avril 2024… Comment, dès lors, la détective Grus peut-elle être poursuivie en vertu d'une disposition qui n'existait même pas au moment des faits ?

Il s'agit manifestement d'une règle inventée rétroactivement.

Justifier sa crucifixion.

Sanction

Il y a deux semaines, un tribunal inique s'est réuni pour statuer sur la sanction infligée à Grus. L'accusation a requis une rétrogradation de deux ans, de constable de première classe à constable de deuxième classe – une sanction représentant environ 100 000 $ de perte de salaire (à titre de comparaison, même une condamnation pour conduite en état d'ivresse n'entraîne qu'une rétrogradation de six mois) – en plus des 400 000 $ qu'elle a déjà dépensés en frais juridiques.

Lors de l'audience de détermination de la peine, l'avocat de Grus a déposé des milliers de pages d'affidavits et de pièces à conviction. Un affidavit citait des documents internes du gouvernement montrant que, dès juillet 2021, des responsables du Manitoba avaient exprimé des inquiétudes quant à une augmentation des fausses couches spontanées suite à l'administration de ces médicaments à des femmes enceintes et allaitantes.

Le message de ces plaidoiries était clair : une tentative de dissimulation est en cours.

 

 

 

 

Réfrences:

https://grusjusticeproject.org/grus-case/

 

 

- Ghislain Martel  (+)




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